mardi 25 août 2015

Maman, j'ai choisi mon combat


Maman, j'ai choisi mon combat 

Quand je vois ces gens qui viennent sur internet
me dire que ce sont à cause des arabes si il y a des attentats, je suis horifiée!
NON! NON ET NON! NON!

Les attentas sont faits par des gens pratiquant une "religion" inconnue de tous qu'ils appellent Islam. Je m'explique. Comme tout le monde, je sais bien que l'Islam existe déjà. Simplement, les Islamistes ne pratiquent pas du tout l'Islam comme Mahomet l'entendait, comme le Coran l'entend et comme les musulmans l'entendent. Les musulmans pratiquent leur religion selon le Coran. Ils ne font de mal à personne et tolèrent bien plus de chose que certains chrétien. Alors non, je ne fais pas cet article pour blâmer le christianisme et pour éloger l'islam, on sait tous ici que je n'adère pas au concept des religions. Tout ça pour en arriver à mon "vrai" combat.

Tout les matins, je me lève et j'ai peur. J'ai peur d'allumer ma télé et d'entendre "Le FN a encore gagné des points". Chaque matin nous rapproche un peu plus de 2017, chaque matin j'en ai un peu plus peur. J'ai peur de voir, le soir des élections, un type ou une type du FN monter fièrement sur l'estrade qui sera dressée place de la République. J'ai peur de ça. Et quand je vois des gens qui sont obligés de renier leurs origines uniquement pour rester ici tellement ils ont peur, je suis désolée! Vous imaginez au point où on en arrive ?! Je ne veux pas ça.

Je veux un monde idéaliste dans lequel on s'aime tous. Mais ne venez pas me dire que je ne l'aurai jamais, je préfère rêver que pleurer.

dimanche 23 août 2015

Comme Une Envie De Se Libérer

Comme une envie de se libérer


Une ile au milieu de la Mer. Un volcan, une forêt, une plage, une liberté retrouvée. Autant de mots qui auraient pu décrire St-Lucie. Mais aucun que j'ai choisi d'utiliser. J'aurai pu rajouter catastrophe naturelle mais je n'aime pas ce mot. Il n'est pas beau. Contrairement à cette île. Une magnifique île hélas peu connue.

Je me souviens des fougères, d'un volcan, d'un petit village, des habitants. Les habitants. Ils venaient de perdre leur maison à la suite d'un ouragan. Ils avaent tout perdus! Mais ils riaient, les enfants jouaient, les adultes lavaient le peu d'affaires qu'ils avaient pu sauver dans une rivière de boue et de terre, au courant un peu trop fort. Je me souviens de l'entraide qui regnait.
Je me souviens aussi qu'on a traversé une ville, Canaries. Des maisons colorées aux toits multicolores poussaient ça et là, donnant un cachet à la ville.
Un petit coin de paradis, où j'ai trouvé une mentalité que nous n'avons pas en France. J'ai trouvé ma liberté. Je me suis libérée.